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Tant mieux si c’est Claire qui raconte, moi j’adore !
Le dernier, là, il était magnifique. La chute, j’ai beaucoup aimé ! (N. 45 ans, 2023)
Tant mieux si c’est Claire qui raconte, moi j’adore !
Le dernier, là, il était magnifique. La chute, j’ai beaucoup aimé ! (N. 45 ans, 2023)
Quand la conteuse, le conteur dit « il était une fois »…
l’histoire commence.
Pour qu’elle puisse commencer,
l’histoire doit avoir été travaillée……répétée… …mâchouillée…
…grommelée… …chuchotée…
…murmurée…
Voici certaines de mes préparations actuelles.
De retour avec l’association romande « l’arbre à contes », j’organise le prochain cercle des conteurs à Villeneuve.
Le cercle de printemps de l’arbre à contes aura comme thème : les fleurs.
Un cercle de conteurs, pour Monsieur-Madame-Tout-l’monde, c’est l’occasion de…
Un cercle de conteurs, pour un conteur ou une conteuse, expérimentée ou débutante, c’est l’occasion de…
Alors maintenant, je travaille le thème des fleurs ! Et vous, préparez-vous à venir vous en mettre plein les oreilles !
En juillet, j’accompagnerai un voyage « Samare voyages et retraites SARL » en Irlande, où je laisserai s’envoler quelques légendes plus ou moins connues de cette contrée humide, verdoyante et sauvage.
Je ferrai une narration biblique du début de l’Evangile de Luc durant le culte des familles. Durant le repas, je raconterai un conte de Noël contemporain.
Encore merci pour vendredi. Avec ce temps, ce soleil, ce fut un moment magique. (F, 70 ans, 2023)
Le 6 octobre 2023, de 16h00 à 18h30, pour la troisième action de « Contes en banc », j’étais à nouveau près du banc au bord du lac, à la place de l’Ouchettaz à Villeneuve pour raconter des histoires aux passants.
Je suis arrivée pile poil en même temps qu’une amie. D’autres amis sont arrivés, des collègues, et des auditeur·ice·s sont venus exprès pour entendre les contes du jour.
Des promeneurs de chiens, des cyclistes et trotteurs (ou trottinetteurs?), des gens pressés, des touristes aux langues diverses… beaucoup sont passés sans se laisser intéresser.
Quelques-unes ont accepté ma proposition et se sont installées, d’autres ont tendu l’oreille en passant, et se sont arrêtés pour entendre la fin de l’histoire.
Chacun est reparti avec le sourire, et quelques étoiles dans les yeux !
Dans le désordre, j’ai raconté
Quelques conteuses du collectif ça clignote ont imaginé, en automne 2022, de lancer le mouvement de « Contes en banc » en Romandie. Quelques rencontres et téléphones plus tard, le bouche à oreilles ayant fait son œuvre, nous voilà une soixantaine de conteurs de tous les cantons romands enthousiasmes à l’idée d’y participer. Chacun a choisi un banc public, et s’y est installé de 16h à 18h30 lors des trois vendredi prévu, afin d’y raconter des histoires aux passants.
C’est un événement commun qui nous a rassemblés, conteurs et conteuses, sans nous réunir physiquement autour de l’envie d’apporter chacune et chacun une touche réjouissante et rayonnante grâce à nos si précieuses histoires.
Voici où se situaient les différents bancs (cliquer sur cette ligne) !
Peut-être remettrons-nous des contes sur des bancs l’année prochaine ? la décision n’est pas encore prise. Ce qui est certain c’est que moi, je continuerai à raconter des histoires par-ci et par là… Venez revoir mon site, ou inscrivez-vous à ma lettre de nouvelles pour le découvrir en temps utiles !
Vendredi 2 juin, de 16h à 18h30, sur un banc près du Léman, sur la place de l’Ouchettaz, j’ai raconté une légende et des contes aux passants ! Comme une soixantaine d’autres conteurs de Romandie !
Pour cette deuxième action, le grand soleil était là, mon immense parapluie a joué les parasols plus que le décor !
Peu se sont arrêtés : c’était la fête dans la Grand-Rue, et nombreux étaient les gens trop occupés. Nombreux aussi étaient les personnes intéressées par l’idée de ce partage, sans toutefois vouloir s’arrêter.
Une dame est venue pour partager deux heures avec moi. Une autre s’est laissé attirer par une annonce dans l’agenda culturel, quelques autres se sont arrêtés pour un instant.
Elles et ils ont entendu :
c’est un projet Romand auquel je m’associe. Pour en connaître les tenants et aboutissants, cliquez là !
Vendredi 31 mars de 16 à 18h30,
sur un banc près du Léman, sur la place de l’Ouchettaz, j’ai raconté des histoires aux passants !
Après-midi tempétueux. Des promeneurs de chiens, des joggeurs et joggeuses, des gens pressés qui craignaient l’orage. Vers 16h40, une dame s’est arrêtée pour une toute petite histoire : « Nasr Eddin et le sel » (trouvé dans : Sublimes paroles et idioties de Nasr Eddin Hodja, ed. Libretto).
En terminant cette histoire, je constate que MeteoSuisse annonce l’arrivée imminente d’un orage violent. Et sur le lac, il s’approchait à grande vitesse. J’ai rangé « mon » banc pour aller me mettre à l’abri, et c’est là que sont arrivées un couple et une dame venus de loin exprès. Nous nous sommes donc réfugiés sur le banc dans le débarcadère. Ils ont entendu :
Après m’être réchauffée quelques minutes avec un thé chaud, je suis retournée vers « mon » banc pour y essuyer à nouveau quelques refus, et finalement, vers 18h20, raconter à nouveau « L’amour des roses » à un promeneur âgé.
c’est un projet Romand auquel je m’associe. Pour en connaître les tenants et aboutissants, cliquez là !
Ce 24 décembre, les habitants du village de Caux participaient à la dernière fenêtre de l’Avent à la chapelle protestante, et moi aussi. J’y ai conté « la ville dans la nuit » (journal Pomme d’Api, texte de Marie-Hélène Détail)
Je voudrais remercier Claire pour ces belles histoires qui nous ont fait voyager, rêver, penser. (P, 55 ans, 2022)
Au-delà du célèbre épisode du manteau, que nous disent la légende dorée et les légendes plus anciennes au sujet de ce personnage connu du lVème siècle européen ?
J’ai préparé ce sujet, partant de l’enfance et la jeunesse de Martin, passant par sa relation avec les animaux et la nature, pour arriver à son décès et à « l’été de la Saint Martin ».
Conterie d’une bonne demie heure.
Pour la version 2022 de la Nuit du Conte en Suisse, un établissement scolaire de Renens m’a invité pour raconter des métamorphoses en début de soirée à ses élèves.
Le premier conte fut « l’enfant d’éléphant » (trouvé dans « Histoires comme ça » de Rudyard Kipling )
Puis : « Le miroir »
Suivi de « la princesse grenouille » (trouvé dans : « 1000 ans de contes » aux éditions Milan)
Et pour terminer : « Juan Bobo » (trouvé dans : )
Odin, Freyia, Thor…
Snorri Sturluson a écrit l’Edda il y a maintenant 9 siècles. C’est une compilation d’écrits préalables racontant en détails la Création du Monde et la vie des êtres puissants auxquels croyaient les vikings.
Pour les voyageurs partis avec Samare aux Lofoten, et pour les membres de l’Association « les Amis de Samare« , j’ai débroussaillé cet imposant volume. J’en ai conté une partie importante à Montreux un soir de juin 2022.
Je remercie Claire pour ses contes, et particulièrement le dernier. Elle y a si bien conté plusieurs fois la même action en choisissant soigneusement un vocabulaire varié avec une maîtrise parfaite de la langue française. (JM, 70 ans)
En Bretagne début juillet 2021, durant un voyage « Samare, voyages et retraites », j’ai raconté presque quotidiennement quelques haut faits de ces lieux et personnages légendaires.
J’ai passé un moment merveilleux ! (A, 55 ans, 2021)
C’est à Denens (VD), au soir du 3 juin 2021, pour la fête des bénévoles de la paroisse réformée de l’endroit que j’ai repris le fil des mots contés.
Nous avons d’abord cheminé avec le « Samaritain », vous savez, celui qui s’arrête pour s’occuper d’un blessé dévalisé par des bandits (évangile de Luc, chapitre 10 dès le verset 30).
La deuxième histoire mettait en scène deux équipes de peintres, des chinois et des byzantins qui, sans vraiment savoir qu’ils étaient ensemble pour le faire, créèrent un ensemble de peinture magnifique. (JC Carrière, « le cercle des menteurs »)
Elle nous prend comme ça, et à la fin de l’histoire elle nous repose là. Comme Mary Poppins. (CLS 75 ans, 2020)
Conterie d’une bonne demie heure. Selon le nombre d’enfants prévus, un matériel technique audiovisuel est indispensable. Cliquer ici pour obtenir la fiche technique pour les écoles.
Les yeux pétillants : « vous racontez bien ». (maman env. 35 ans, 2019)
Je ne sais pas comment vous faites. Il y avait la fontaine, l’odeur, tout le contexte, j’étais dedans, dans l’histoire ! (IF 70 ans 2019)
Les 1er et 8 décembre, l’Arbre à Contes me permet à nouveau de raconter l’Avent et Noël dans le cadre de Bô Noël à Lausanne. Tous les détails ici-même d’ici peu.
Quels beaux souvenirs tu nous laisses! Merci (C. 75 ans 2019)
Je vous concoctais chaque mois de la belle saison deux histoires qui résonnaient l’une avec l’autre.
Sur les quais d’Entre Deux Villes, à Vevey/La Tour, je les racontais à qui se laissait interpeller.
Vous trouverez là les exemples de tous les duos d’histoires déjà proposés.
Le 8 novembre 2019, le village de Ballaigues m’invitait à participer à sa première « nuit du conte ».
Rendez-vous à 19h au Vieux Collège pour un tour du village conté en quatre postes et quatre conteurs différents.
J’étais à l’église pour raconter au sujet des droits des enfants. Voici les histoires que j’ai racontées, et quel lien elles ont avec le thème.
J’ai d’abord raconté le vitrail central de cette jolie église de Ballaigues : « Laissez venir à moi les petits enfants », tiré de la Bible (Luc 18, 15-18). Ou comment Jésus reconnaît aux enfants une place centrale dans la vie et le monde.
J’ai ensuite raconté un conte merveilleux : la belle et longue histoire de « Grande Étoile et l’oiseau de vérité ». Trois enfants rejetés et recueillis dans une famille aimante, partant à la recherche de leurs origines.
Il faudrait faire de petits livre pour les enfants, avec ces histoires !
Merci beaucoup ! (dame 30 ans, 2019)
En ce 2 octobre 2019, c’est par une jolie éclaircie que deux jeunes dames se sont arrêtées au bord du Léman entre Vevey et La Tour pour écouter deux histoires de tours. Reprise de « Tout en tours ».
Avec d’abord une histoire qui est passée de la bouche d’une conteuse très discrète dont je ne connais pas le nom, à mes oreilles. Je ne peux citer aucune référence, mis à part qu’il s’agit de « la tour jusqu’à la lune ». On s’est bien amusées de ce roi obstinément curieux !
La deuxième histoire le récit de Babel (Genèse 11, 1-8) introduit par quelques mesures de « assis sur le bord du monde » de Francis Cabrel.
En cours de récit, nous avons fait une brève incursion dans l’imaginaire Estonien.
20 ème épisode.
Quatre personnes se sont arrêtées pour écouter d’abord l’histoire d’un homme paralysé dont les amis se sont mis en quatre afin de lui permettre de se trouver face à Jésus; le texte est issu de la Bible, dans l’Evangile de Luc, chapitre 5, versets 17 à 26.
Nous sommes ensuite partis dans les Alpes, découvrir la légende du pont du diable « des Schöllenen », dont l’image ci-contre est la représentation.
Le diable peint sur la muraille.
Roland Zumbühl (Picswiss), Arlesheim (Commons:Picswiss project) — http://www.picswiss.ch/geo.html ; Wandbild « Teufel und Ziege » in der Schöllenen (Teufelsbrücke)
Merci de nous avoir arrêtés pour écouter; et en plus vous racontez bien ! Bravo la conteuse, au top ! (dame 75 ans, 2019)
19ème rencontre au bord du lac.
Un conte merveilleux, le prince serpent (conte-type 433) qui montre comment l’héroïne a su trouver le chemin du prince charmant bien caché sous tant d’écailles, d’écorces et de misère.
Ce conte faisait écho à l’histoire du début, où nous avons suivi les pas de Jésus, dans l’évangile de Luc (chapitre 4,31 – 5,11). Il commence par extraire des démons et des fièvres, puis il permet à quelques pêcheurs de sortir tant et tant de poissons de l’eau.
Et parlant du public, plusieurs personnes ont été tentée d’écouter un moment : d’abord une dame et ses deux filles, puis un couple, et une habituée. En cours de conte, une autre dame a été attirée… et est restée scotchée.
(l
)Le 5 juin à 16h puis à 16h30, deux demies heures de contes à la suite pour répondre à quelques questions qu’on ne se pose pas… mais que parfois les enfants se posent !
Contes dès 3 ans accompagné d’un adulte et seul dès 5 ans
18ème rencontre au bord du Léman. Deux ânesses, avec chacune son propriétaire. L’une qui voit un ange, et parle à son propriétaire, l’autre « boit la lune »…
C’est l’histoire de Balaam et de son ânesse, dans la Bible, dans le livre des Juges, au chapitre 22.
L’autre est une légende gruyérienne, celle de « la fontaine de Lessoc », dont vous pouvez admirer ici le joli toît, protégeant tout un chacun des reflets intempestifs de la lune.
Durant deux après-midis de décembre 2018, j’ai été engagée comme plusieurs membres de l’Arbre à contes, à raconter des histoires de saison durant le marché de Noël de Lausanne.
Sympathique et accueillant lutin, lieu un peu bruyant mais très joliment installé, public au rendez-vous, soit tout ce qu’il fallait pour des temps de partage réussis.
Bravo pour ton logo, simple et poétique j’adore! (E, 49 ans, 2018)
« J’la connaissais déjà ! » (E. 9 ans, 2018)
Mardi 18 décembre 2018 à 19h30 à l’église de Pailly (VD), invitée par la paroisse réformée, je participai à la fête de Noël villageoise.
Nous sommes partis en Palestine à l’aube de notre ère, pour suivre ce que l’évangéliste Luc nous en relate, accompagnés de divers instruments.
Le 23 novembre 2018, il y a eu des contes pour futurs parents à Villeneuve (VD). Il s’agit d’une heure intimiste disant la force intérieure du féminin, l’étonnement du masculin et le mystère de la naissance.
17ème épisode. Nouvel endroit pour les contes sur les quais. Quelques personnes se sont installées dans cet endroit agréable et ombragé et ont écoutée ces deux histoires qui débordaient en tous sens :
Le moulin au fond de la mer, conte norvégien, met en scène un moulin à manivelle qui produit ce qu’on lui demande, mais dont il faut bien connaître le fonctionnement, faute de naufrage !
L’histoire biblique en écho se déroulait au bord du lac de Galilée, quand quelques pêcheurs ont obéi à un ordre déroutant : jeter leurs filets dans une eau qu’ils viennent de quitter où plus aucun poisson ne semblait se trouver. A lire dans la bible, dans l’évangile de Luc, chapitre 5.
Le 1er septembre 2018, le stand « Terre Nouvelle » de l’Eglise Réformée vaudoise m’a accueilli pour raconter à plusieurs reprise l’histoire d’un appel : celui du jeune enfant qui mit à disposition ses 5 pains et ses 2 poissons, dans l’évangile de Jean au chapitre 6. Petits et grands étaient les bienvenus près de l’entrée de la cathédrale de Lausanne, et ce ne furent que des grands qui s’arrêtèrent !
Dans le cadre d’un voyage en Finistère (Bretagne) organisé en été 2018 par Samare, voyages et retraites, j’ai parsemé presque quotidiennement des histoires de là-bas :[two_third]
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16ème épisode (NT) ce chaud et ensoleillé mercredi 20 juin sur les quais de Vevey.
Plusieurs personnes se sont arrêtées, deux autres sont venues exprès pour écouter ces deux histoires à l’ombre d’un grand arbre.
Première histoire : un conte de sagesse dévoilant comment un roi voulu truquer le hasard, et comment son jardinier et futur gendre su garder la vie en jouant avec. « Hassan le clairvoyant », Conte de sagesse, par Praline Gay-Para dans Contes populaires de Palestine, éd. Babel 2003
Deuxième histoire : nous suivons notre personnage faisant la lecture du jour, un peu au hasard, devant les notables de son village. Texte dans la Bible, Luc 4, dès le verset 14 jusqu’au 30.
Pourquoi l’éléphant a-t-il une trompe ? pourquoi le Léman est-il si profond ? comment certaines montagnes sont-elles devenues triangulaires?
Une heure pour se poser tant et tant de pourquoi ? et de comment ?
« C’est génial que tu aies trouvé un cadre pour raconter encore aux futurs parents. Ça a été une telle expérience positive pour moi ! » (I, 2012-2018)
« C’était trop court ! Mon grand-papa il me raconte des histoires plus longues ! » (V. 10 ans, 2018)
Le 16 mai 2018, nous voyagions des Alpes vaudoises au vaste monde à travers plusieurs histoires préparées pour des enfants. Une vingtaine d’enfants de 6 à 12 ans et quelques parents s’étaient déplacé pour ce joli moment.
Le printemps maintenant règne en maître…
Pour commencer, j’ai raconté un conte de sagesse norvégien, « les sept pères »; où le héros rencontre des générations et des générations, avant de se rencontrer.
Ensuite, nous avons suivi Jésus dans un parcours l’amenant d’une reconnaissance fondamentale à un positionnement déterminé dans sa vie d’humain. Le texte se trouve dans la Bible, évangile de Luc, la fin du chapitre 3 et le chapitre 4, jusqu’au verset 13.
L’image évoquant la généalogie est tirée de « une bible », livre illustré par Rébecca Dautremer, avec son aimable autorisation. D’autres images se trouvent ici : rebeccadautremer.fr
« C’était magnifique, votre conte. » (monsieur 65 ans, 2018)
« C’est étonnant comme vous arrivez à captiver des gens de notre âge ! » (dame, 79 ans, 2018)
« On vit ici des moments de grâce. » (J. 75 ans, 2017)
« C’est toujours un plaisir de t’écouter/te voir, ça me donne des idées dans mes recherches et mon travail. » (B. théologienne 40 ans, 2017)
« Je ferai le max pour venir t’écouter, j’ai été fascinée en t’écoutant en Bretagne l’année dernière, alors je me réjouis de t’entendre à nouveau ! » (MT. 60 ans, 2017)
« Pendant que vous racontiez, un moment, j’entendais plus votre voix, je vous voyais plus, mais toute l’histoire se déroulait dans ma tête. » (P. 32 ans, 2016)
« J’ai passé une très bonne soirée et apprécié l’ambiance et les histoires. Précieux!
puis, tout à coup le rideau est tombé et je ne pensais qu’à mon lit ! » (B, 50 ans, 2016)
Mercredi 20 septembre 2017 sur les quais de Vevey, nous sommes d’abord partis au chevet d’un sultan plongé dans un profond ennui, qu’un vieil homme vient distraire en lui faisant découvrir une autre vie.
Nous avons ensuite rejoint les deux épouses du patriarche Jacob, le jour où l’aîné des enfants apporte des fruits de mandragore, et que la négociation s’ouvre entre les deux femmes pour savoir qui les mangera. (la Bible, livre de la Genèse, chapitres 29 et 30)
Le 2 septembre 2017, dans le cadre de la fête de l’Eglise Réformée vaudoise (EERV), j’ai repris l’épisode 11 et nous sommes donc (re)partis à la découverte de plusieurs « jeunes filles à marier ».
Pour commencer, dans le Grand Nord, comment une jeune fille à su voir « L’invisible » (tiré d’un ouvrage de H. Gougaud)
Ensuite, nous avons accompagné le vieux serviteur d’Abraham, lorsqu’il est allé chercher une épouse pour le fils de son maître (Genèse 24).
Engagée pour la nuit de la lecture 2017 d’une école aiglonne, j’ai fait découvrir à deux groupes de classes successifs la légende de « Bracaillon », le braconnier qui découvrit les salines de Bex toute proches.
En ce chaud après-midi de fin juin, nous sommes passés entre les gouttes au bord du Léman. Une atmosphère orageuse pour écouter d’abord « le violon magique », conte tzigane, où la rivalité conduit Suzon à assassiner sa sœur.
La deuxième histoire nous fait sentir la rivalité d’Esaü et de son frère Jacob dès le sien de leur mère. Raconté à partir des chapitres 25 et 27 de la Genèse, au début de la Bible.
Voici l’un des contes ambulants à travers l’exposition de peintures « Pèlerinages » qu’Eliane Monnier avait faite en 2014 à Crêt-Bérard, Puidoux.
Cet épisode de mai 2017, auquel quelques enfants et quatre adultes ont assisté, nous aura mené loin des paisibles eaux du Léman, dans plusieurs lieux désertiques, où l’eau est tellement précieuse.
Tout d’abord, nous nous mettons en bouche avec un conte de sagesse, retranscrit par Jean-Claude Carrière dans : « Le cercle des menteurs ». Où l’on découvre comment un roi arrive, avec une certaine brusquerie il est vrai, à préserver le bonheur de l’un de ses sujets des plus humbles, en le nommant «gardien de l’eau du paradis».
Ensuite, notre deuxième histoire nous a abreuvés avec le chapitre 26 de la Genèse (dans la Bible) où nous avons suivi Isaac, fils d’Abraham, cherchant la juste distance avec le peuple vivant sur la terre de son refuge. Tout en creusant des puits…
Le 15 mars 2017, sous un soleil magnifique, nous sommes partis à la découverte de plusieurs « jeunes filles à marier ».
Pour commencer, dans le Grand Nord, comment une jeune fille à su voir « L’invisible » (tiré d’un ouvrage de H. Gougaud)
Ensuite, nous avons accompagné le vieux serviteur d’Abraham, lorsqu’il est allé chercher une épouse pour le fils de son maître (Genèse 24).
Mercredi 12 avril 2017, par un soleil resplendissant sur les quais de Vevey, une dizaine de personnes (adultes et enfants) se sont arrêtées pour écouter deux histoires mettant en scène des pères et leurs fils.
Pour commencer, Abraham, sa relation au dieu unique, pour qui il pose tant et tant de pierres blanches, et pour qui il risque même la vie de son fils. Et ce fils rempli de tant de confiance.
La deuxième histoire, je l’ai trouvée dans un ouvrage d’Henri Gougaud, c’est un conte de sagesse nommé « le collier ».
Du désordre dans l’ordre des épisodes ?
Pour ce rendez-vous sur les quais durant la semaine Sainte, il fallait des histoires de circonstance. En prévoyant tout ça un peu à l’avance, il m’est apparu rapidement qu’il fallait là de la gravité, et que les deux histoires romantiques devaient trouver une autre place. C’est ainsi que la recherche d’une épouse pour Isaac, et l’histoire du chasseur invisible, devaient passer avant, au mois de mars donc.
Voilà pourquoi l’épisode 10 a été raconté après l’épisode 11 !
Maintenant, après avoir vécu Vendredi Saint, écouté le récit de la Passion du Christ, tant de similitudes et de parallèles m’apparaissent. Peut-être à discuter un jour ou l’autre avec un théologien ?
Le 14 décembre 2016 au Café du Marché de Payerne, j’ai raconté le silence obligé de Zacharie, tout au début de l’Evangile de Luc (Luc 1, 5-25, 39-45 et 56-79).
En parallèle, j’ai raconté le conte des frères Grimm le fils de roi qui n’avait peur de rien.
Dans le thème « se taire » ou dit autrement « choisir ses mots », j’ai également raconté une aventure de Nasreddin Hodja, et l’empreinte de l’ange, trouvé dans un ouvrage de Henri Gougaud.
Comme Noël s’approche, j’ai encore raconté « le Noël d’Ali » écrit par Philippe Merieux.
la paroisse réformée d’Orbe-Agiez m’invitait à raconter un conte de Noël lors de l’ouverture de la fenêtre de l’Avent à l’église d’Arnex.
C’est l’épisode de l’annonce de la naissance de Jean le Baptiste, dans la Bible, au début de l’évangile de Luc qui nous a occupé. Joli moment pour une bonne trentaine de personnes.
Le Café du Marché de Payerne était plein au soir de ce 9 novembre, pour une soirée de contes et histoires bibliques en échos. Une soirée, c’est plus long qu’une demie-heure sur les quais. C’est pourquoi après les deux histoires du 8ème épisode, j’ai repris les deux histoires de l’épisode précédent.
La première histoire était un conte de Grimm : l’Ondine de l’étang (181), où un meunier choisit le chemin facile que lui propose l’ondine pour devenir riche, sans réaliser qu’il compromet ainsi l’avenir de son fils nouveau-né. Bien plus tard, pour sauver ce fils devenu adulte, sa jeune épouse prendra un rude chemin et obtiendra l’aide d’une vieille femme bienveillante.
La deuxième histoire était celle des chemins parallèles de Abram et de son neveu Lot, jusqu’au moment où ils doivent séparer leurs deux clans, Lot choisissant de prendre le chemin à l’aspect paradisiaque, laissant la route aride et désertique à Abram.
A lire dans la Bible, au livre de la Genèse, chapitres 12 et 13 (Gn 11.31-13.18)
Ce mercredi 12 octobre 2016, par une fraîche après-midi automnale, quelques personnes sont venues écouter deux histoires au bord du lac.
La première : l’histoire d’un père demandant à ses filles trois filles comment elles l’aiment, et qui n’apprécie absolument pas sa réponse : « je t’aime comme le sel ».
La deuxième histoire récit le récit de la vie de la femme de Lot, et comment elle s’est retournée alors qu’il n’aurait pas fallu. Tirée principalement du chapitre 19 de la Genèse, dans la Bible.
Pour cette histoire-là, je me suis beaucoup inspirée du travail de Véronique Isenmann, dont les références d’un livre se trouveront prochainement sur une page en lien ici même.
Le 22 septembre 2016, sur le quai Perdonnet à Vevey, j’ai eu le plaisir de raconter à quelques personnes deux histoires de fidélité.
La première était une traversée de la vie de Sara, l’épouse d’Abraham, que l’on peut lire dans le livre de la Genèse, dans la Bible. Elle se trouve aux chapitres 12, 13, 15 à 18 puis 20 à 23. Plusieurs auteurs ont inspiré mon récit…
On y entendait comment cette vieille femme, par fidélité pour son homme, a menti à Pharaon, puis comment elle a tenté d’aider Dieu à accomplir sa promesse, la violence que cela a suscité en elle, et enfin comment elle devint mère en riant, dans son grand âge.
La deuxième histoire était un conte zen, « les canards mandarins et le samouraï » que l’on peut trouver dans : Les plus beaux contes zen , Henri Brunel , éditions Calmann-Lévy.
En Bretagne début juillet 2016, durant un voyage « Samare, voyages et retraites », j’ai raconté presque quotidiennement quelques haut faits de ces lieux et personnages légendaires.
Le prochain épisode de « la Bible en échos » est prévu
le mercredi 21 septembre à 17h00 sur les quais de Vevey.
Sur le quai Perdonnet, non loin de l’Alimentarium.
Pour votre confort, n’hésitez pas à prendre un pliant, un tabouret ou un coussin avec vous…
Joli moment, ce 18 mai : quelques adultes et une dizaine d’enfants se sont arrêtés sur les quais de Montreux, le temps d’écouter deux histoires, en y participant.
Deux histoires mettant chacune en scène un dialogue emprunt de respect.
Evangile de Luc 2, 41 à 52, puis le conte d’un vieil ermite « mal-entendant ».
La paroisse réformée de Ballaigues-Lignerolle m’invitait à titiller l’imaginaire des jeunes et des plus âgés durant son rallye, le 22 mai 2017. Ils ont entendu la légende des mines de sel de Bex !
Ce mercredi 20 avril 2016, quelques amis auditeurs et moi avons tenté de nous élever et de nous rapprocher du ciel.
Avec d’abord une histoire qui est passée de la bouche d’une conteuse très discrète dont je ne connais pas le nom, à mes oreilles. Je ne peux citer aucune référence, mis à part qu’il s’agit de « la tour jusqu’à la lune ».
La deuxième histoire le récit de Babel (Genèse 11, 1-8) introduit par quelques mesures de « assis sur le bord du monde » de Francis Cabrel.
En cours de récit, nous avons fait une brève incursion dans l’imaginaire Estonien.
On s’est bien amusés de ce roi obstinément curieux !
16 mars 2016…
Par la douceur d’un début de soirée presque printanier, quelques passants se sont finalement arrêtés pour écouter un bout de ce troisième épisode. Au programme, la légende de l’Ile d’Ys dans le Finistère breton aurait accompagné le récit du déluge, mais fut finalement la seule histoire contée, faute de temps. En effet, les oreilles attentives sont arrivées tard, et le temps de mon accompagnant du jour était compté…
Dans un mois, le prochain épisode !
Le 13 avril 2016 au Tempo, à Yverdon, Françoise Grandjean, Sandra Ghiggia et Claire Calame ont repris des contes de Grimm présentés à Orbe en octobre passé. Le Tambour, la Fileuse, les oies, et d’autres ont allumé quelques sourires !
Pour clore l’année anniversaire de l’association romande « l’arbre à contes », 23 conteuses (dont je faisais partie) se sont relayées durant toute la nuit pour raconter plus de 70 contes de Grimm.
Cela s’est passé au centre de culture ABC, à la Chaux-de-Fonds, durant la nuit du 18 au 19 décembre 2015.
Expérience hors de l’ordinaire. Entendre tant de voix, de styles, de rythmes différents… que du bonheur. Selon l’heure, le rythme baissait, les paupières peinaient, mais les voix et les oreilles étaient toujours au rendez-vous.
Encore une fois, les contes de Grimm nous ont étonné, surpris, parfois désarçonné.
Petite devinette :
Trois jeunes femmes ont été transformées en marguerites (les fleurs). Elles sont en tout point semblables. L’une d’elle retrouve s
a forme humaine chaque soir et peut ainsi passer la nuit avec son aimé. Un matin, elle lui dit que s’il vient la cueillir avant midi, il la délivrera définitivement du sort dont elle est victime. Comment l’aimé fait-il pour la reconnaître ?
La réponse en 2016… à moins que vous ne m’envoyiez vos réponses par courriel !
Durant le mois de décembre, contes, musique (enregistrée) et textes bibliques sur diverses thématiques possibles. Par exemple la lumière.
Dans le projet anniversaire de l’association « l’arbre à contes« , Françoise Grandjean, Sandra Ghiggia et Claire Calame ont raconté les contes de Grimm que le sort leur a désigné le 24 octobre 2015 au musée d’Orbe.
Elles reprendront la même conterie le 13 avril 2016 au Tempo à Yverdon.
Plus d’informations sur le projet « Dire tout Grimm » ici.
En mai, quelques légendes polonaises sur les origines de la ville de Cracovie,
en juillet des contes norvégiens et « Peer Gynt », la grande oeuvre de Ibsen et Grieg,
puis en octobre, une légende fondatrice de la Catalogne, en duo avec M-T Verry, musicienne.
tout cela a été parsemé durant des voyages organisés par Samare, voyages et retraites
Mercredi 16 septembre 2015, par un soleil et une météo remarquables sur les quais de Montreux, le public de ce 2ème épisode de « la Bible en échos » a entendu d’abord l’histoire des chapitres 2, 3 et 4 du premier livre de la Bible : la Genèse.
C’est là que l’on découvrait comment, modelé de glaise ou fabriqué/sorti de l’humain, d’indifférenciés fusionnés, les humains avaient découvert le monde du choix et de la liberté, pour arriver peu à peu à assumer cette liberté et ses conséquences. Où l’on a entendu également comment Dieu a marqué l’humanité du seau de son amour.
En deuxième partie, nous avons parcouru à grande vitesse le conte des « deux frères », conte de Grimm : où deux jumeaux accompagnés d’une quirielle d’animaux vivent des aventures séparés l’un de l’autre, pour se retrouver et s’entraider dans la difficulté.
Le célèbre poème dramatique et musical « Peer Gynt », dont Henrik Ibsen a écrit le texte et qu’Edvard Grieg a illustré musicalement est une œuvre complexe, où conte, théâtre et musique s’entremêlent. Je tente de démêler cette œuvre en vous racontant pour commencer quelques contes norvégiens. J’expose ensuite les différents éléments qui me rendent cette histoire « inracontable », ce qui me permet ensuite de vous proposer un résumé illustré de plusieurs extraordinaires passages musicaux.
1h15 à 1h45 de contes et conférence mêlés d’écoute d’enregistrements.
Ce premier épisode a eu lieu sur les quais de Montreux, le 24 juin 2015.
J’ai raconté :
Je me suis inspirée d’un conte que Christophe Colpaert (dit « Le beau Léon ») a écrit en 2013, qui est basé sur la mythologie scandinave (Viking), et d’informations documentaires trouvées dans :
En commençant par le thème de la marche, je vous propose quelques contes sur la thématique choisie.
Quelques sujets à réfléchir, à approfondir…
les oiseaux
les âges de la vie
à boire et à manger
le bonheur
Vous pouvez me proposer une autre thématique, je vous concocterai volontiers un programme !
Peut-être apprécierez-vous aussi une histoire sortie de la Bible ? selon le thème, c’est envisageable !
Un antilope qui perd ses oreilles, quelques lions affamés, un gorille, un chimpanzé et une panthère aussi gourmands les uns que les autres, sans compter des histoires de grenouilles, de fourmis, d’éléphants… de quoi réjouir toutes les oreilles.
Des trolls à une, trois, six ou neuf têtes, Askelaad, les vents des quatre points cardinaux… plusieurs princesses et d’autres personnages décoiffants…
1h de contes de Norvège, choisis de la collecte de Moe et Asbjörnsen.
Pourquoi le village de Bex figure-t-il sur tous les emballages de sel de Suisse romande ?
Que se passe-t-il quand la curiosité l’emporte ?
Comment le plus grand bêta du monde a-t-il réussi à épouser une princesse ?
Qu’y a-t-il au bout de la flèche du Prince Ivan ?
Et tant d’autres questions que personne ne s’était encore posées,
et qui ont une réponse dans les contes que je vous raconterai un jour…
en mai 2015, une douzaine d’enfants ont cheminé avec les histoires des frères Grimm.
Lors d’une fête privée, une heure de contes divers.
A Baulmes, le 10 juin 2015.
Des chèvres par-ci, des loups par-là, et parfois chèvres et loups se rencontrent…
Murs de pierre, fées, sirènes et pêcheurs, ainsi que la célèbre légende de la cité d’Ys, et la controverse « littéraire » s’y rapportant.
Une heure disant
la force intérieure du féminin
l’étonnement du masculin
et le mystère de la
naissance.
Si vous attendez un enfant et souhaitez élargir votre imaginaire en attendant le grand jour…
Si vous côtoyez de futurs parents…
…contes de sueur et de bonheur est fait pour vous !
Le 8 mars 2015, dans le cadre de la journée « le livre à vivre » de Crêt-Bérard, une heure d’histoires d’animaux pour enfants.
Une éléphant astucieuse, un crapaud effrayant, une antilope sans oreilles captivèrent une quinzaine d’enfants et de parents.
Le dimanche 9 novembre 2014, dans l’espace d’exposition de Crêt-Bérard, Claire Calame a fait voyager ses auditeurs au coeur d’une exposition de peintures d’Eliane Monnier. D’un tableau à l’autre, d’une histoire à l’autre, elle a ainsi exploré l’exposition. De contes du monde en narration biblique, elle a guidé l’imaginaire de ses auditeurs au travers des œuvres.
Cliquez sur le programme pour voir les références des contes entendus ce jour-là.
Et visionnez un extrait ici !